lundi 18 octobre 2010

Le jeu des priorités, la priorité de la vie.

La voiture aujourd’hui a déplacé le citadin à une position complètement marginal, la ville s’a configuré de tel manière, qu’on est limité à traverser les rues par des simples passages signalisées dont toujours c’est à nous le rôle de faire attention au passage d’une simple voiture qui croit avoir la préférence dans cette situation. Comme on peut expliquer que, en France, le conducteur d’une voiture ne s’arrête pas pour céder le pas au citadin qui attend au but d’un passage piéton ?

Dans la vie quotidienne, la société nous a appris à avoir considération devant les communautés des personnes les plus faibles (enceintes, personnes âgées, handicapés…), à différence de la vie instinctive animal ou sélection naturel, où les plus forts doivent survivre les pires circonstances, la société humaine vie en solidarité avec le prochain. Que-est ce qui se passe donc avec la circulation en ville ? On s’est oublié de ce principe de société participative ? Pour quoi l’élément le plus fort, qui disposé de tous types de protection (conduite par 1 personne) est prioritaire à un group de gens sans protection ni visibilité qui vont faire le geste naturel de traverser à l’autre côté de la rue, de son espace (4-5 personnes) ? On se trouve que l’élément prioritaire a, on plus, la capacité de quitter une vie et souvent, aux personnes qui ses réflexes ne sont pas habitués à la jungle urbaine. Les chiffres sont là, le 25 % des accidents mortels en ville implique la un piéton, dont le 50% a plus de 65 ans. Environ de 800 citadins à pied sont tués en France chaque année, plus du 65% en milieu urbain. Malgré ça, l’index de piétons tués pour 100 victimes s’aggrave si l’on est éloignée de l’agglomération urbaine. De cette manière on passe d’un taux de 1’8% en villes moyennes à un 24% en rase campagne (Donnés d’ INRETS).

Dans n’importe quel pays de l’union européenne il y a un pic anormal de mortalité infantile à conséquence des accidents sur la rue, cette population est la plus touchée pour les blessés en arrivant à un 28% des piétons blessés.

En utilisant comme exemple le cas d’Espagne, on peut voir, sur ce graphique un pic de mortalité infantile anormal à la tendance général d’entre les 11 et 12 ans, c’est l’âge laquelle certaines ont commencé le lycée et leurs parents les « laissent » y aller sans compagnie. Ces enfants ont appris quelques conseilles pour savoir quand est l’instant parfait pour traverser la rue mais ils n’ont pas toujours la bonne réponse aux réactions des conducteurs.





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